Au terme de ce travail, il est évident que tout n’est pas parfait. Un projet d’une telle ambition aurait sans aucun doute eu besoin de plus de temps pour aboutir au résultat qui était souhaité au départ. Mon stage s’est déroulé sur une période de quatre semaines, ce qui ne me sembla pas être une durée significative pour émettre des résultats concluants.

En raison des limites du travail, il est évident que des questions se posent encore.    

Il serait intéressant de remettre en place un projet radiophonique pour vérifier que les résultats sur l’apprentissage rejoignent les raisons de faire de la radio à l’école, énoncées par le CLEMI.

La mise en place d’un tel projet dans une de mes futures classes me permettrait certainement de répondre aux questions qui restent en suspens : quels sont les apports positifs de la mise en place d’un projet radiophonique en classe ? La radio permet-elle de travailler les compétences du cours de français de manière plus efficace ? Permet-elle aux élèves de surmonter leurs difficultés ? Aide-t-elle les élèves à améliorer leur expression orale ?

Il serait également intéressant de tester ce type de projet dans différents types d’enseignement, afin de voir si le projet entraine les mêmes effets, par exemple, dans l’enseignement général et dans l’enseignement professionnel.

Toutes ces questions laissées en suspens mériteraient un travail supplémentaire.